Les clients professionnels ont remplacé les particuliers

Une multitude de demandes d’équipements informatiques, auxquelles AuCu Maintenance Informatique a même eu du mal à répondre en raison de livraisons difficiles. Sébastien Sturmel, qui vit dans les ruelles de Lagarrasic à Auch depuis onze ans, a connu une liaison musculaire. Si elle faisait partie des sociétés dites essentielles et autorisée à ouvrir, l’opération était encore ébranlée.

Les deux premières semaines, les entreprises se précipitent pour équiper leurs employés en télétravail: les commandes d’ordinateurs portables, de webcams ou de casques sont innombrables. Cependant, il «rencontre très rapidement des problèmes de livraison» et bien que son inventaire lui permette initialement de répondre à la demande, il ne peut pas répondre à la demande de tous ses clients. Les livraisons reprennent normalement quinze jours plus tard. Cependant, l’aide de la fédération dont il fait partie, la Fédération des revendeurs et prestataires de services informatiques indépendants, lui aura été utile, notamment grâce à un partenariat efficace avec Double Clic de Puycasquier.

Dans le même temps, l’accès à distance dont les employés ont besoin pour travailler à domicile est établi. Il a poursuivi: « Nous devions mettre en place un système d’accès sécurisé aux serveurs via le VPN. Quant aux petites structures qui n’ont pas de serveurs, nous avons utilisé une solution logicielle pour créer un partage d’écran sécurisé. » Il utilise Atera, l’un des « gros intérêts » est de ne pas « entrer en conflit » avec d’autres logiciels de gestion. Les gouvernements demandent également des «solutions de sauvegarde» à la lumière des menaces informatiques et des attaques de pirates informatiques qui se sont développées pendant cette période.

Cette vente aux professionnels lui a permis de compenser la baisse des prestations aux particuliers survenue simultanément. S’il s’agissait d’une des sociétés jugées essentielles et autorisées à ouvrir, il y avait néanmoins des particuliers.

Cependant, il a également réorganisé ses heures de travail et a préféré les réparations à distance pour assurer leur sécurité. Il explique: « J’ai travaillé en arrière. La plupart du temps, les gens m’apportent leurs machines et je fais le diagnostic sur place avant de récupérer. »

Cette fois, il a « repris » le plus possible le contrôle de l’ordinateur pour effectuer un diagnostic à distance. S’il n’était pas en mesure de déterminer la faute, le client apporterait son équipement au magasin.

Une nouvelle organisation qui a conduit à la fermeture du magasin dans l’après-midi. Le matin, il était sur place à l’atelier pour les réparations physiques et à la maison dans l’après-midi, pour un diagnostic à distance.

Avril a été un mois plus difficile car les professionnels se sont reposés. Il a donc clôturé le mois à -60% de chiffre d’affaires. Mais c’est une baisse que le magasin peut emporter à l’extérieur de lui-même, notamment en raison de l’absence d’employés.

Depuis le 11 mai, des individus sont revenus au magasin, laissant espérer une guérison. Pourtant, il est préoccupé par les mois de juillet et août, principalement des transporteurs. Il poursuit: «Habituellement, de nombreuses personnes laissent leur ordinateur derrière pendant les vacances. Mais partent-ils? Ce n’est pas là-dedans! « 

Il craint également la peur des magasins, des restaurants et des cafés. Difficultés d’autres entreprises qui vont également l’affecter: plusieurs entreprises ont annulé de grands projets prévus avec l’achat d’équipements, de réseaux, de vidéosurveillance … Autant d’investissements qui étaient prévus pour certaines entreprises, mais qui ont transféré un minimum.