Après un choc sans précédent, les voyages en avion devraient décoller avec un arsenal anti-Covid-19, la « clé » pour redémarrer, qui doit être harmonisée dans le monde entier pour éviter un « patchwork » de mesures, explique Alexandre de De Juniac, directeur général de l’Association du transport aérien international (Iata),
« Une des clés du redémarrage des trajets est un processus de contrôle des passagers robuste (…) qui rétablit la confiance« Et permet »convaincre les gouvernements de lever les procédures de fermeture des frontièresChérissez le patron d’Iata, qui rassemble 290 compagnies aériennes, dans une interview à l’AFP.
« Nous construisons quelque chose qui est à la fois sûr et avec lequel les entreprises peuvent opérer économiquement rentables.« , Déclare-t-il, rejetant fermement l’idée de verrouiller les sièges pour permettre une distance physique à bord. »Il ne serait pas plus sûr de devoir neutraliser les chaisesJuniac le garantit. « De plus, l’impact économique serait absolument catastrophique « puis » les prix passeraient de 50 à 100%Il continue.
Des discussions sont en cours au niveau de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) et des principaux États « essayer d’avoir une approche globale convergente et harmonisée du système de contrôle sanitaire»Elle sera réalisée par des acteurs du transport aérien. Selon lui, ils devraient se terminer ici « fin mai«
Déclaration sanitaire à l’arrivée à l’aéroport, contrôle de la température, port d’un masque à l’aéroport et dans l’avion, distribution de denrées alimentaires préemballées pour limiter le contact, désinfection de l’avion …: le secteur s’appuie sur une superposition de mesures en combinaison avec des des systèmes de filtres à air efficaces dans les avions pour créer un filet anti-Covid.